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Comment traverser avec un regard positif et plein d’espérance de ce qui se passe actuellement, au delà des polémiques?
Je voudrais vous partager ici ce que j’ai glané de plus profond et de plus nourrissant pour soutenir notre quotidien et notre quête de paix et de sérénité. Je m’appuierai en particulier sur les quatre vérités du Bouddhisme. Cela a fait écho en moi, et j’ai à cœur de vous partager les clés fondamentales que j’en ai tiré et le moyen concret d’en faire usage pour votre plus grand épanouissement personnel, au service de la vie toute entière. 

Je vous explique ? 

Se situer dans le paysage

La première noble vérité du bouddhisme, nous indique que pour ne pas se sentir perdu quelque part, nous avons besoin de savoir nous situer et donc de repères. C’est sans doute ce qui est le plus perturbant actuellement. Là où nous pouvions encore croire qu’une seule vérité existait, il nous est donné de constater que ce n’est plus le cas. Dans cette sidération, comme dans le brouillard, nous ralentissons faute de voir se dessiner la route devant nous. On n’ose plus prendre parti tant les critiques sont vives de part et d’autre. La notion même de vérité peut nous sembler avoir disparu.
Mais rester à attendre que le vent passe n’est peut-être pas très satisfaisant ? Il me semble que se positionner est indispensable si l’on veut continuer à avancer et ne pas subir la réalité des autres. Se positionner, c’est trouver des repères vis-à-vis desquels définir sa position de départ. De là nous pourrons avancer vers un but. Sans point de départ, il n’y a que l’errance qui nous attend.
Pour se positionner, il n’est pas besoin de s’identifier à une cause ou une autre. Ou plutôt, quitte à adopter une cause subjective, la seule qui soit durablement fiable est celle de notre source intérieure, notre petite voix interne qui est la voie vers notre plus grande dimension intérieure, celle de notre part divine. 
De là, je peux, sinon reconnaître ce qui est autour de moi, du moins, reconnaître ce qui est en dedans et me positionner par rapport à cela. Est-ce que ça fait sens ? Est-ce que j’y reconnais une part de moi ? Est-ce que ça me grandit ? Est-ce que ça me donne de l’espoir, de la gratitude, de la paix ou de la joie ? Alors j’aurai les bons repères. Et de là je pourrai avancer en confiance. Nous avons tous en nous ce repère. Mais pas tous le même, c’est pourquoi, identifier le sien, permet d’être plus juste avec soi et plus tolérant avec les autres.

Accepter ce qui est

La seconde noble vérité du bouddhisme nous enseigne qu’il n’y a pas de meilleure réalité que celle qui est la nôtre, ici et maintenant. Ainsi, la meilleure façon de gagner en sagesse est d’apprendre à vivre ainsi et à considérer que tout ce qui se passe autour de nous, tout ce que cela nous fait vivre d’émotions, de ressentis, les pensées que cela génère et les conséquences que tout ceci produit est une expérience. Rien qu’une expérience intérieure de plus à faire. Parfois ce sera agréable, parfois pas.
Généralement, nous avons du mal à tout prendre, tout accepter. Nous faisons le tri à partir de nos jugements. Nous recherchons l’agréable et fuyons l’inconfort. Et pourtant les deux sont inhérents à la vie. Fuir l’un et rechercher l’autre est une manière de refuser une part du réel et donc… engendre la souffrance. L’ombre, la part sombre du monde que nous voyons apparaître de plus en plus actuellement, tant du côté de ceux qui gouvernent, des multinationales ou autres lobbies, que du côté de ceux qui les fustigent et les dénoncent, n’existe que du fait de la présence même de la lumière. Comme dans la vie quotidienne, il faut un jour de beau soleil pour voir apparaître les plus belles ombres. Nous vivons actuellement une très belle période de soleil et donc d’ombre. Chacun en appréciera un aspect plus particulier. Savoir à quoi nous sommes personnellement sensible permet de mieux le gérer au quotidien, sans trop de projection.

Voir briller la lumière

Nous vivons, à mes yeux, une aube nouvelle. La lumière de la conscience est de plus en plus forte et nous invite à monter en vibration et à reconnaitre en nous, et tout autour, une toute nouvelle réalité. La création toute entière, tout ce qui apparaît est énergie et l’énergie est conscience comme en font la démonstration les nouveaux modèles de physique unifiée (cf Nassim Haramein). Chaque parcelle de notre quotidien est issue de la même source et fait partie d’une même réalité : l’unité du monde. Ainsi tout est juste dans la création, car tout y trouve sa place. Certains diront que tout est la création de dieu, d’autres préféreront y voir un hasard généralisé. Peu importe, tout cela procède de la même idée. Tout est issu de la même création et tout en fait naturellement partie. Ainsi tout est juste et, charge pour nous de nous en rendre compte et de l’accepter plutôt que de lutter contre. La lutte est bien sûr tentante, mais elle est vaine car elle consiste à maintenir la dualité. Cela revient à lutter entre nous alors que nous faisons partie de la même famille. Mais n’est-ce pas ce que, malheureusement, nous faisons au quotidien ? Raison de plus que de se mettre dans cette démarche, pour en sortir grandi, plus humain encore.

Savoir que la paix existe

La troisième noble vérité du bouddhisme rappelle que la paix nous est donnée. C’est même notre nature métaphysique profonde. Mais nous l’avons oubliée. En nous incarnant, nous oublions notre nature métaphysique, divine et parfaite. Nous nous dissocions de la création et nous vivons comme si la Nature, l’énergie créatrice de la vie, nous était étrangère. Nous raisonnons à travers une vision dualiste créée de toute pièce par notre cerveau limité. Nous nous croyons séparés, nous croyons qu’il nous faut nous battre pour survivre, pour conquérir nos biens, pour nous faire une place au soleil alors que tout nous est donné si on lâche prise. Ce ne sont que nos tergiversations égotiques qui créent la souffrance, en alimentant en permanence la frustration, en espérant, vainement, que le monde devienne ce qui nous arrangerait. Nous croyons que ne plus souffrir, c’est vivre dans le plaisir sans arrêt, alors que le plaisir est la plus grande source de convoitise et donc de frustration. Seule l’acceptation de ce qui est, tel que c’est dans le présent, peut nous apporter la paix intérieure. Et cela nous l’avons déjà. C’est totalement à notre portée dès que l’on cesse, par notre mental, de vouloir une autre réalité que celle que nous avons à notre disposition. Ainsi est le paradoxe de notre époque et l’illusion que nous pouvons maintenant dépasser.

Reconnaitre la seule vérité qui est mienne

Vient alors la quatrième noble vérité. Elle nous enseigne que la seule vérité qui doit faire sens pour nous, est celle issue de l’expérience que nous faisons de la vie. Notre seule vérité vraie, la seule valeur absolue que nous ayons à considérer afin de rester juste avec nous-mêmes, est intérieure. Elle nous vient du corps et des émotions plus que du mental égotique. C’est clairement un renversement de situation et nous avons bien du mal à l’accepter. Nous avons tellement été influencés par des années de rationalisation obstinée qu’il est difficile de changer cela. Nous avons appris à écouter la vérité des autres et non d’écouter et d’exprimer la notre.
Bien sûr, il ne s’agit pas de renoncer à la logique, à la raison, à l’épreuve des faits, ni même à une certaine démarche scientifique ou intellectuelle. Il s’agit de ne pas se laisser abuser par elles et les remettre à leurs places. Ce sont des outils, nécessaires et précieux. Mais cela doit rester des outils. Le cœur est notre maître et le cerveau son auxiliaire dévoué, et non l’inverse. Le mental est certes souvent une entrave à l’éveil, s’il prend le pouvoir, mais il n’est sûrement pas à rejeter. Ce ne serait encore qu’une manière de refuser notre réalité humaine et nous priver de ce qui permet le mieux d’y faire face. L’enjeu est au delà. Il s’agit plutôt de transcender cette propension égotique, en apprenant à canaliser ce mental envahissant, en lui donnant un rôle clair et en le laissant nous aider là où il nous est utile et profitable. Et en ces temps de transition, nous en aurons aussi bien besoin.

L’action juste

Alors maintenant, comment pouvons nous agir? 
Et bien, tout d’abord en réalisant que seule l’action est juste, au contraire de la réaction. La réaction est égotique et émotionnelle. Elle peut être un starter pour l’action, mais ne doit pas en rester le carburant. Ni la colère, ni la peur, ne sont de bonnes conseillères et la tristesse nous fait vivre dans passé révolu. Seule l’acceptation de ce qui est, ici et maintenant, peut nous permettre de trouver une paix intérieure durable et ainsi être en posture d’agir avec justesse.
Bien sûr, cette acceptation n’est pas un renoncement à l’action. L’acceptation est l’attitude qui doit présider à la mise en mouvement. Et ce mouvement devrait avoir pour vocation, non pas de vouloir changer le monde, mais nous donner l’occasion de mettre en action notre pouvoir créateur. Ce pouvoir est celui de créer notre réalité telle que nous voulons la vivre, depuis notre plus haut niveau de conscience. Ce n’est plus seulement chercher la satisfaction des convoitises, mais agir pour la réalisation de notre plein potentiel divin sur terre. 
C’est là qu’est tout l’enjeu : tracer notre propre chemin. Car nous n’avons pas tous la même mission, ni les mêmes talents. Notre action se joue là où nous sommes ancrés, ici et maintenant. La clé est de découvrir comment nous incarnons cela, à notre façon. Et c’est ce que j’ai trouvé et que je voudrais maintenant vous proposer de découvrir.

Les clés pour avancer sereinement

Le réel est le réel. Nous ne pouvons en changer que la perception que nous en avons, dans le respect de la vie et de nous-mêmes. Mais comme nous sommes tous différents, le chemin est différent pour chacun d’entre nous. Nous n’avons pas tous à faire les mêmes pas pour trouver la paix et agir avec justesse.
Ainsi, je peux vous aider à définir :

  • Comment vous vous situez en conscience et comment, en dualité, vous créez de la souffrance en ignorant cela.
  • L’action juste pour vous, et comment inconsciemment vous réagissez parfois.
  • La seule chose qui vous met en paix et comment vous la cherchez vainement à l’extérieur.
  • La vérité profonde issue de votre expérimentation.

Je m’appuie pour cela sur la Bioanalogie d’autres outils de connaissance de Soi.
Mes clients en témoignent, même après des années de thérapies et de travail personnel, ils trouvent là une clarification qui les apaise et les stimule. Ainsi, remis sur leur propre chemin, ils retrouvent un élan et une assurance pour passer sereinement à l’action.
Alors, je les vois rompre avec d’anciens schémas, commencer de nouveaux projets et surtout sortir de la passivité et reprendre leur vie en main pour plus de sérénité et de pertinence. Ce fut mon cas également et je me régale aujourd’hui du bien-être que cela m’a permit de trouver. 

Je vous en fait profiter ?

Si vous aussi vous souhaitez découvrir ces vérités essentielles, c’est très facile, il vous suffit de me contacter. Je me ferai un plaisir de vous accompagner dans cette découverte et sa mise en œuvre très concrète.

Et pour compléter cet article :
Quelles injonctions m’empêchent d’être libre ?
Expliquer l’indicible conscience du cœur ?
Etre ouvert à la nouveauté.